domingo, 13 de mayo de 2012

la météo

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Le lexique de la météo. Cliquer ICI

 
Le temps en France. Cliquer sur l'image et compléter les phrases

Les saisons

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Un autre exercice: Cliquer ICI

Révision: Prépositions

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Verbe "Aller"


Les prépositions noms de pays et villes

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Quelques exercicices:
1.-Bonjour de France: Cliquer ICI
2.- Un petit Quizz: Cliquer ICI
3.- Compréhension orale: Cliquer ICI
4.-Exercices de Tapis Volant: Cliquer ICI
5.- Exercices d'expression écrite: Cliquer ICI

lunes, 19 de marzo de 2012

martes, 6 de marzo de 2012

8 mars: Jour de la femme

Le chanteur français, Pierre Perret, censuré depuis le 7 janvier. Écoutez cette belle chanson (la femme grillagée)qui a été interdite en 2010 par la presse, la radio et la télé.

martes, 21 de febrero de 2012

Les prépositions

Quelle préposition? Cliquer sur les images


Les partitifs


Un tout petit exercice pour ne pas oublier les partitifs:

Les prépositions



Clique sur les prépositions de la liste. Pour les découvrir toutes, tu peux utiliser la barre placée en bas de page.

Observez et après cliquer sur l'image pour faire l'exercice.

domingo, 12 de febrero de 2012

À quoi ça sert l'amour?

Une chanson de Edith Piaf et Théo Sarapo pour la Saint-Valentin


Mon amour, mon ami- Marie Lafôret

jueves, 9 de febrero de 2012

Cyrano de Bergerac: la tirade du nez

Les élèves de français sont allé(e)s au théâtre voir Cyrano de Bergerac. Voilà un extrait de la tirade du nez, vraiment sublime..


CYRANO
Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... Oh ! Dieu !... bien des choses en somme...
En variant le ton, - par exemple, tenez
Agressif : « Moi, monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l'amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C'est un roc !... c'est un pic !... c'est un cap !
Que dis-je, c'est un cap ?... C'est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D'écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os ! »
Cavalier : « Quoi, l'ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c'est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T'enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C'est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque ? Êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C'est-y un nez ? Nanain !
C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
? Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.

Traduction:

CYRANO: ¡Ah, no, sois algo corto, jovenzuelo!

Pueden decirse… ¡Dios mío!… tantas cosas más…

Variando el tono ― por ejemplo, atended:

Agresivo: “¡Yo, caballero, si tal nariz tuviera

os juro que al instante me la amputaría!”

Amistoso: “¡Se os debe de meter en vuestra taza; para beber, tendréis que fabricaros una copa especial!”

Descriptivo: “¡Es una roca!… ¡Un pico!… ¡Un cabo! ¡Qué digo un cabo!… ¿Es toda una península!”

De escribanía: “¿Caballero, o caja de tijeras sois?”

Curioso: “¿De qué os sirve esa oblonga cápsula?”

Gracioso: “¿Tanto amáis a los pájaros que paternalmente os preocupasteis de tender esa percha a sus pequeñas patas?”

Truculento: “Cuando fumáis, caballero, y el humo del tabaco sale de vuestra nariz ¿ningún vecino grita: ¡Fuego en la chimenea!?”

Previsor: “¡Cuidaos de que, por ese peso vencida, no os haga la cabeza dar contra el suelo!”

Tierno: “¿Por qué no hacerle una sombrilla para que el sol no marchite su color?”

Pedante: “¡Sólo el animal, señor, que Aristófanes llama Hipocampelefantecamello debió tener bajo la frente tanta carne sobre tanto hueso!”

Galante: “¿Qué tal, amigo?, ¿está de moda ese gancho? ¡Muy cómodo ha de ser para colgar sombreros!”

Enfático: “¡Ningún viento puede, oh nariz magistral, acatarrarte por completo, a excepción del mistral!”

Dramático: “¡El mar rojo cuando sangra es!”

Admirativo: “Para un perfumista, ¡vaya anuncio!”

Lírico: “¿Es eso una concha? ¿Sois vos un tritón?”

Ingenuo: “Ese monumento, ¿a qué hora se visita?”

Respetuoso: “Permitid, señor, que os felicite,

¡eso es lo que se dice poner en Flandes una pica!”

Rústico: “¿Qué eso es una nariz? Ni hablar:

¡O es un nabo gigante, o es un melón pequeño!”

Militar: “¡Apuntad con eso a la caballería!”

Práctico: “¿Queréis rifarla en una lotería? A buen seguro, señor, gordo el premio sería”.

Imitando en fin a Píramo en uno de sus lamentos: “¡Ah!, nariz que destruyes de los rasgos de tu dueño la armonía! ¡De tu propia traición te ruborizas!”

Poco más o menos esto, querido, me habríais dicho si algunas letras tuvierais y algún rastro de ingenio; mas de éste, vos, el más lamentable de los seres, nunca tuvisteis un solo átomo, y de letras sólo tenéis las ocho que forman la palabra: ¡Majadero!

Si además la inventiva tuvieseis necesaria para poder aquí, ante estas nobles galerías, dedicarme todas estas extravagantes bromas, no hubierais articulado la cuarta parte de la mitad del principio de una, pues, si yo mismo me las sirvo con bastante inspiración, no permito que nadie más me las dedique».

jueves, 2 de febrero de 2012

Les goûts

2 février-La chandeleur

Le nom populaire de cette fête en français, Chandeleur, a une origine latine et païenne : la festa candelarum ou fête des chandelles, d’après une coutume consistant à allumer des cierges à minuit en symbole de purification.

Chez les Romains, on fêtait les Lupercales aux environs du 15 février, fêtes inspirées de Lupercus, dieu de la fécondité et des troupeaux. À la même époque, on trouve également la fête de Feralia.

Chez les Celtes, on fêtait Imbolc le 1er février. Ce rite en l’honneur de la déesse Brigit, célébrait la purification et la fertilité au sortir de l’hiver. Les paysans portaient des flambeaux et parcouraient les champs en procession, priant la déesse de purifier la terre avant les semailles.

Au Ve siècle, le pape Gélase Ier substitue cette fête aux antiques lupercales ou aux fêtes de Proserpine et de Cérès. Selon Lévitique 12, un petit garçon premier né doit être présenté au Seigneur par sa mère, 40 jours après la naissance, avec une offrande de deux tourterelles.

Aujourd’hui, on connaît surtout la Chandeleur en tant que jour des crêpes. On raconte que c’est ce même pape Gélase Ier qui faisait distribuer des crêpes aux pèlerins qui arrivaient à Rome.

On dit aussi que les crêpes, par leur forme ronde et dorée, rappellent le disque solaire, évoquant le retour du printemps après l’hiver sombre et froid.

Il existe encore de nos jours toute une symbolique liée à la confection des crêpes. On fait ainsi parfois sauter les crêpes de la main droite en tenant une pièce d'or, (par exemple un Louis d’or) ou à défaut une monnaie, et ce dans la main gauche afin de connaître la prospérité pendant toute l’année, il s'agit de faire en sorte que la crêpe atterrisse correctement dans la poêle. On dit aussi que la première crêpe confectionnée doit être gardée dans une armoire et qu’ainsi les prochaines récoltes seront abondantes. Il est parfois précisé qu'il s'agit du sommet d'une armoire et que la crêpe est alors réputée ne pas moisir et éloigner la misère et le dénuement. À l'occasion de la Chandeleur, toutes les bougies de la maison devraient être allumées. La tradition demande aussi de ne ranger la crèche de Noël qu'à partir de la Chandeleur, qui constitue la dernière fête du cycle de Noël.

Recette des Crêpes

INGRÉDIENTS:

Préparation :
Mélanger la farine avec le sucre semoule et le sel.
Faire un puits au centre et incorporer 1/4 de litre de lait puis les trois oeufs préalablement battus à la fourchette dans un bol, et l'huile.
Bien mélanger, puis ajouter à nouveau 1/4 de litre de lait. La pâte à crêpe est prête !





lunes, 9 de enero de 2012

Les articles partitifs

La nourriture

Cliquer sur l'image


Un petit jeu de dictée: c'est très facil, il faut cliquer sur l'image et écrire ce que vous écoutez. Regardez la liste du vocabulaire si vous avez des problèmes....